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Olga & Oleg Tatarintsev : MOTSLIBRES
Curateur : Fabrizio Donini Ferretti
 1-23.03/2019 / 6 passage des Gravilliers - 75003 Paris

MOTSLIBRES est la première exposition de Olga et Oleg Tatarintsev en France. Elle présente une nouvelle étape de leur travail, portant sur la dialectique de l’enfermement et de la liberté. En prenant appui sur des écrits d’auteurs russes ayant connu la captivité soit à l’époque tsariste, comme Fiodor Dostoïevski, soit à l’époque soviétique comme Ossip Mandelstam ou Joseph Brodsky, soit à l’époque contemporaine comme le réalisateur Kirill Serebrennikov, les artistes mènent une double réflexion sur l’expérience d’une forme de captivité comme condition d’une authentique libération ou émancipation de l’homme, et sur la possibilité d’échapper aux prisons que dressent les concepts, les catégories du langage...
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Lioudmila Konstantinova & Gosha Ostretsov : 
La théorie du tout

7-20 septembre 2018, Paris​​

En physique contemporaine « La théorie du tout » explique le monde à partir de cinq interactions fondamentales. C’est aussi autour de l’interaction que nous avons construit cette exposition, celle des œuvres de Lioudmila Konstantinova et Gosha Ostretsov unis dans la vraie vie et si différents artistiquement.
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Mathieu Merlet Briand : M@terial
20.04 - 19.05.2018 / accueillie par la galerie Mhaata, Bruxelles

Portée par une force incommensurable qui tend à absorber toutes les choses du monde, l'exode vers le « virtuel », n'a pas consisté simplement à reproduire le monde non-digital. Concepts pré- numériques, idées, idéologies, philosophies, pensées et objets de toutes sortes circulent et façonnent les structures de nos réseaux et environnements numériques. Cependant, les choses se sont compliquées... Ces derniers temps, de nouveaux objets, concepts, matériaux, modes perceptuels et existentiels émergent de ce « tout » indivisible et indissociable qui englobe le numérique, le non-numérique et la nature. Il semble impossible de le voir autrement.

« M@terial », une exposition personnelle de Mathieu Merlet Briand, embrasse cette idée.


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Les vigies
Exposition collective. Artistes : Mathieu Merlet Briand, Anne-Flore Cabanis, Alice Nikolaeva, Gosha Ostretsov 
​Sur l'invitation de Fabrizio Donini Ferretti

​12-18.04.2018

Par quelque mystérieux hasard d’une date fortuitement choisie, cette exposition rassemble quatre artistes de l’inquiétude autour d’une icône de la certitude, Yuri Gagarine, dont le vol du 12 avril 1961 à bord du vaisseau Vostok C est peut-être la dernière geste héroïque de notre civilisation, répliquée comme en un combat antique par le vol d’Armstrong de juillet 1969. En cela, elle nous parle visuellement de cette perte qui est au cœur des temps présents, qui peut-être les définit, et que nous ne savons nommer que par antiphrase. Ces deux temps mythiques de la conquête de l’espace ont paru entremêler le génie technique de l’homme, c’est-à-dire le narcissisme inévitable et en apparence triomphant d’une raison capable de convoquer l’avenir sous la forme qu’elle réclame, et un monde du merveilleux, de la légende, sur lequel ouvraient les portes de cette aventure.
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Gosha Ostretsov : I’ve Been Abducted Hundreds of Times. An Archeology of the Future 
​Curator : Simon Njami
08.05-30.06.2017 / Palazzo Nani Bernardo, Venise 
08.12.2017-20.01.2018 / Espace Goyal Madeleine, Paris

This exhibition by Gosha Ostretsov, curated by Simon Njami, is a hallucination, a heterochrony, the archaeology of the future. Using the specific world of an artist, it will present history as a script in which components complement each other, break up and conduct a dialogue. These components are an Italian renaissance palazzo, relics of Soviet-era culture, archives, the interstellar flight, literature and, of course, the plasticity of Venice hosting the best examples of contemporary art from around the world. We have put our heads together to tell you a story where everyone can nd himself or herself, a story of all forms and all periods in human history. 
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Alice Nikolaeva : Cosmos Nostalgia
avec la galerie Gerome Nivet-Carzon
8 - 23  juillet 2016/ 2, rue Geoffroy l'Angevin - 75004 Paris

​La conquête spatiale a marqué des générations de russes, comme une utopie ultime et sans limite peuplée de héros téméraires et d’images envoûtantes. Les astéroïdes dorés de Alice Nikolaeva seraient-ils des morceaux de ces utopies, restés en suspens dans ce monde nouveau ? Ils sont en équilibre précaire, comme hésitants – la rupture possible des attaches ajoute à cette tension. Les symboles sont multiples, la couleur dorée qui rappelle les couvertures de survie ou qui symbolise le froid de la mort dans une combinaison habile de préciosité et de technicité. L’artiste se réfère aussi directement à l’esthétique des films d’anticipation soviétiques des années 60 qui l’ont beaucoup influencés.
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Bady Dalloul, Tonkeru, Carte satellite, 2015

Lost in Between 
Exposition collective. Artistes : Apollinaria Broché, Adolfo Bioy Casares, Bady Dalloul, Louise Gügi, Esjieun Kim, Johan Larnouhet
Curateur : Sacha Pevak. Assistante curateur : Dasha Akimava
2-10 avril 2016 / 19 Côté Cour :  19 rue Marc Séguin - 75018 Paris

Franchir une frontière, traverser un fleuve, entrer dans le « cercle magique », rêver, se retrouver de l’autre côté du miroir ou bien se connecter – une multitude de voies pour atteindre les envers du réel, considérés pour la plupart comme inexistants. Sans pour autant être attachés à une approche unique du réel, les artistes de l’exposition « Lost In Between » partagent le sentiment de fragilité de frontières entre les mondes et oscillent entre les réalités. Ceci nous plonge dans un doute constant sur la nature, les sources, voire l’existence de leur travail. Alors, tout comme le personnage de « L'Invention de Morel » (1940) d'Adolfo Bioy Casares qui se réfugie sur une île déserte – un lieu étrange – on se retrouve dans un réel magique, le rêve le plus vraisemblable, n’arrivant pas à tracer les frontières entre réel et fiction.
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Bady Dalloul, Scrapbook, 2015

Bady Dalloul : ​Scrapbook & Wall of Fame
Double exposition. Curateur : Sacha Pevak
13 - 19 février 2016 / 19 Côté Cour :  19 rue Marc Séguin - 75018 Paris

Évènements historiques, faits personnels et fiction composent le récit fragmentaire, que l’artiste Bady Dalloul écrit au fils du temps et qu’il ouvre par le premier chapitre – « Scrapbook ». Ici, en face de l’histoire chronologique du pays syrien, il dresse une dimension humaine et essaie le masque de ceux, capables de décider des destins par un simple geste de la main, puisque « cartographier » ne signifie pas plus que « dessiner sur papier »...

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