galerie nomade Alexandra de Viveiros
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Viktor & Sergiy Kochetov, "Geometrical Clouds", 1997
Viktor & Sergiy Kochetov, Vladyslav Krasnoshchok, Sergiy Lebedynskyy, Roman Pyatkovka, Evgeniy Pavlov, Sergiy Solonsky
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11 - 15 May 2022 / PHOTO LONDON 2022 / Somerset House, London, Booth B02

Alexandra de Viveiros gallery is happy to present at Photo London Art Fair seven artists belonging to the Kharkiv School of Photography, Ukraine.
Since the mid-70s, artists of the Kharkiv School treat the photography in an unconventional way, developing a personal aesthetic by defying the social taboos of the representation. Their experiments created an iconography that went against the codes of social realism glorifying the repressive state. They show the reality of everyday life as well as the fragility of bodies often depicted naked, disobeying the official prohibitions.
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Evgeniy Pavlov, "Alternative", 1985
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Viktor & Sergiy Kochetov, Vladyslav Krasnoshchok, Sergiy Lebedynskyy, Roman Pyatkovka, Evgeniy Pavlov, Sergiy Solonsky: 
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Once upon the war in KHARKIV

22 mars - 14 avril 2022 / 36, rue du Fer-à -Moulin 75005 Paris

​Dans des années 1970, malgré la censure d’Etat constante, un groupe de jeunes et ambitieux photographes décide de traiter le médium photographique de manière non conventionnelle. 
Ils développent une esthétique personnelle manifeste, réinvestissent le réel en défiant les tabous sociaux de représentation. Diverses expérimentations techniques - solarisation, double exposition, montage, colorisation - sont mises au service d’une iconographie rompant avec le codes du réalisme socialiste. Les artistes s’attachent à montrer la réalité du quotidien mais aussi des corps fragiles et souvent représentés nus, à l’encontre des interdits officiels. 
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Vladyslav Krasnoshchok & Sergiy Lebedynskyy, Untitled, “Timoshenko’s Escape” series, 2012
Vladyslav Krasnoshchok & Sergiy Lebedynskyy: Timoshenko’s Escape

11-14 November 2021 / PARIS PHOTO 2021 / Grand Palais Ephémère - Paris

​For its first participation in Paris Photo Alexandra de Viveiros Gallery is very pleased to present a solo show “Timoshenko’s Escape” of Vladyslav Krasnoshchok and Sergiy Lebedynskyy.
Since 2004, Ukraine has drawn attention of European society with regular pro-democracy revolutions and backfalls from their initial achievements. The duo’s series “Timoshenko’s Escape” (2012) was a reaction to the event, which shook the whole country: ex-prime minister Yulia Timoshenko, whose recognizable crown braid was one of the symbols of the Orange revolution, became the first political prisoner in the contemporary history of Ukraine. She was jailed and transferred to Kharkiv, the photographers’ hometown. In a situation of complete despair and inability to influence the political agenda, the artists created an absurd series of Timoshenko’s escape, playing her running through the night streets of Kharkiv. 
The Ukrainian photographers Sergiy Lebedynskyy and Vladyslav Krasnoshchok (Shilo group) manifest themselves as successors to the Kharkiv School of Photography. The artists navigate between documentality and staginess; they represent piercing social commentaries, translated through the various techniques of transforming images and performative gestures.
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Masha Buruyak, Olga Kisseleva, Danse Between Two Walls, 2011
Olga Kisseleva : Double Life

9 mars - 16 avril  2021 / 19 Côté Cour : 19 rue Marc Séguin - 75018 Paris

La série des vidéos Double Vie, réalisée entre 2008 et 2020, est une œuvre collective pour laquelle Olga Kisseleva a invité plusieurs artistes de pays différents. Elle y traite de la place de l’artiste dans la société qui, souvent, relègue les professions intellectuelles et artistiques au second plan, bien après les professions « fonctionnelles » et « utilitaires ». Ainsi, de nombreux artistes sont obligés d’exercer un travail dit « alimentaire » afin de subvenir à leurs besoins. Ce travail influence leur pratique artistique qui elle-même transforme leurs tâches en performance.
Les problématiques soulevées dans la série  semblent exacerbées dans la situation de crise pandémique actuelle. L’œuvre constitue une critique aiguë, juste et nécessaire des conditions des artistes aujourd’hui, et elle compose simultanément des portraits saisissants d’artistes, de leur vie, leur intimité, leurs espoirs et de leurs angoisses.
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Modified of "Art to Be Alone", Olga Tatarintsev, 2020
Marina Chernikova, Olga Kisseleva, Vladyslav Krasnoshchok, Gosha Ostretsov, Olga & Oleg Tatarintsev : Collective Immunity

Exhibition featuring six international artists who created their works during the lockdown
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​17 - 22 November 2020 / 22 rue du Cloitre Saint-Merri, 75004 Paris
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In the times of global uncertainty, the brightest minds keep looking for ways to overcome the threat of the disease. The humankind’s universal dream right now is very simple and at the same time almost unreachable – “to get back to normal”. However almost everyone already understands, that there is no way back to a status quo. Society will inevitably have to develop rules of the new normal - sets of habits and standards which will let people overcome the fear of getting closer to each other in the situation when physical distancing has become the most important and at the same time a deeply disturbing factor of our life. Among many new words that have recently entered our vocabulary there is another important term - collective (or herd) immunity.  ...
Each of the participants of the exhibition has her individual recipe of coping with the challenges of contemporary situation. Together they create a powerful statement about the importance of solitude, contemplation and creativity and emphasize the inner power and regenerative potential of a crisis.

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Olga Kisseleva, "Contre temps", vidéo, 2013

Olga Kisseleva : Infinity
17 avril - 2 mai 2020 / 6 passage des Gravilliers - 75003 Paris  ( annulée )
19 mai - 6 juin 2020 / 19 Côté Cour : 19 rue Marc Séguin - 75018 Paris

Alexandra de Viveiros est heureuse de présenter Infinity, une exposition personnelle de Olga Kisseleva, l’une des représentants majeurs du science-art, autour de sa performance Contre Temps que l’artiste a réalisée au Louvre Lens en 2013. 
​Invitée au Louvre Lens, Olga Kisseleva a analysé le plan du musée. Le bâtiment, composé de plusieurs modules allongés et légèrement courbés, semble à la fois ouvert - aux regards, aux interprétations, à la multitude des lectures de l’espace - et énigmatique, comme un idéogramme inscrit dans le paysage. Si une courbe était tracée qui réunisse les angles extérieurs de chacun des modules, nous pourrions constater qu'un des idéogrammes, qui ont structuré le bâtiment, est le signe mathématique de l’infini.
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Leonid Tishkov, "Night Walk with the Moon. Private Moon in the Urals", 2015

Leonid Tishkov, Olga & Oleg Tatarintsev, Olga Kisseleva, Gosha Ostretsov : Pressentiment du Cosmos
28 janvier - 8 février 2020 / 6 passage des Gravilliers - 75003 Paris 

Alexandra de Viveiros est heureuse de présenter Pressentiment du Cosmos, une exposition collective autour du cosmisme russe, un courant philosophique selon lequel le monde environnant est un Cosmos, c’est-à-dire un ordre qui garantit l’apparition et la pérennité de la vie, contrairement au chaos qui menace l’une et l’autre. À la suite des philosophes cosmistes, des artistes réinterprètent le thème du cosmos comme demeure commune pour nous tous.
​L’exposition réunit un ensemble de nouveaux projets des artistes invités ainsi que des œuvres moins récentes : vidéo, photographies, installations, peintures et dessins y sont mises en scène de façon inédite.
Photo
Viktor et Sergiy Kochetov, "Novoselovka. Locomotive-monument", 1993

Viktor & Sergiy Kochetov, Roman Pyatkovka, Sergiy Solonsky, Vladyslav Krasnoshchok : Storytelling from Kharkiv: Singular Voices
Curateur : Nadiia Kovalchuk 
 6-17 novembre 2019 / 6 passage des Gravilliers - 75003 Paris 

​Comment raconter, par le moyen de la photographie, ce medium prétendument  « simple » et « transparent », la diversité des histoires vécues par un pays connaissant des mutations profondes et radicales ? Cette exposition propose de mettre en lumière une expérience singulière et peu connue en Europe, celle d’un phénomène artistique hors du commun au sein de l'espace de  l'ex-URSS : l’École de photographie de Kharkiv. Dès années 1980 jusqu’aux événements révolutionnaires de l’Euromaïdan en 2013-2014, les artistes associés à ce mouvement dévoilent, à l'aide d'une photographie éminemment subjective et expérimentale, les événements politiques datant de l'Ukraine soviétique, puis contemporains. 
Photo
Olga Tatarintsev, "The Day Was Five Headed", 2018

Olga & Oleg Tatarintsev : MOTSLIBRES
Curateur : Fabrizio Donini Ferretti
 1 - 23 mars 2019 / 6 passage des Gravilliers - 75003 Paris

MOTSLIBRES est la première exposition de Olga et Oleg Tatarintsev en France. Elle présente une nouvelle étape de leur travail, portant sur la dialectique de l’enfermement et de la liberté. En prenant appui sur des écrits d’auteurs russes ayant connu la captivité soit à l’époque tsariste, comme Fiodor Dostoïevski, soit à l’époque soviétique comme Ossip Mandelstam ou Joseph Brodsky, soit à l’époque contemporaine comme le réalisateur Kirill Serebrennikov, les artistes mènent une double réflexion sur l’expérience d’une forme de captivité comme condition d’une authentique libération ou émancipation de l’homme, et sur la possibilité d’échapper aux prisons que dressent les concepts, les catégories du langage...
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Gosha Ostretsov, "Léon Tolstoi", 2018

Lioudmila Konstantinova & Gosha Ostretsov : La théorie du tout
7-20 septembre 2018, Paris​​

​En physique contemporaine « La théorie du tout » explique le monde à partir de cinq interactions fondamentales. C’est aussi autour de l’interaction que nous avons construit cette exposition, celle des œuvres de Lioudmila Konstantinova et Gosha Ostretsov unis dans la vraie vie et si différents artistiquement.
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Mathieu Merlet Briand, "Google Basalt", 2016

Mathieu Merlet Briand : M@terial
20.04 - 19.05.2018 / accueillie par la galerie Mhaata, Bruxelles, Belgique

Portée par une force incommensurable qui tend à absorber toutes les choses du monde, l'exode vers le « virtuel », n'a pas consisté simplement à reproduire le monde non-digital. Concepts pré- numériques, idées, idéologies, philosophies, pensées et objets de toutes sortes circulent et façonnent les structures de nos réseaux et environnements numériques. Cependant, les choses se sont compliquées... Ces derniers temps, de nouveaux objets, concepts, matériaux, modes perceptuels et existentiels émergent de ce « tout » indivisible et indissociable qui englobe le numérique, le non-numérique et la nature. Il semble impossible de le voir autrement.
« M@terial », une exposition personnelle de Mathieu Merlet Briand, embrasse cette idée.
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Mathieu Merlet Briand, "We live on the planet #earth", 2017

Mathieu Merlet Briand, Anne-Flore Cabanis, Alice Nikolaeva, Gosha Ostretsov : Les vigies
Sur l'invitation de Fabrizio Donini Ferretti
​12 - 18 avril 2018, Paris

L'exposition rassemble quatre artistes de l’inquiétude autour d’une icône de la certitude, Yuri Gagarine, dont le vol du 12 avril 1961 à bord du vaisseau Vostok C est peut-être la dernière geste héroïque de notre civilisation, répliquée comme en un combat antique par le vol d’Armstrong de juillet 1969. En cela, elle nous parle visuellement de cette perte qui est au cœur des temps présents, qui peut-être les définit, et que nous ne savons nommer que par antiphrase. Ces deux temps mythiques de la conquête de l’espace ont paru entremêler le génie technique de l’homme, c’est-à-dire le narcissisme inévitable et en apparence triomphant d’une raison capable de convoquer l’avenir sous la forme qu’elle réclame, et un monde du merveilleux, de la légende, sur lequel ouvraient les portes de cette aventure.
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Gosha Ostretsov, "Manipulation", 2016

Gosha Ostretsov : I’ve Been Abducted Hundreds of Times. An Archeology of the Future 
​Curator : Simon Njami
8 May - 30 June 2017 / Palazzo Nani Bernardo, Venise  
8 December 2017 20 Janvier 2018 / Espace Goyal Madeleine, Paris

This exhibition is a hallucination, a heterochrony, the archaeology of the future. Using the specific world of an artist, it will present history as a script in which components complement each other, break up and conduct a dialogue. These components are an Italian renaissance palazzo, relics of Soviet-era culture, archives, the interstellar flight, literature and, of course, the plasticity of Venice hosting the best examples of contemporary art from around the world. We have put our heads together to tell you a story where everyone can read herself or himself, a story of all forms and all periods in human history. 
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Alice Nikolaeva, "If you have a meteorite...", 2016

Alice Nikolaeva : Cosmos Nostalgia
avec la galerie Gerome Nivet-Carzon
8 - 23  juillet 2016 / 2, rue Geoffroy l'Angevin - 75004 Paris

​La conquête spatiale a marqué des générations de russes, comme une utopie ultime et sans limite peuplée de héros téméraires et d’images envoûtantes. Les astéroïdes dorés de Alice Nikolaeva seraient-ils des morceaux de ces utopies, restés en suspens dans ce monde nouveau ? Ils sont en équilibre précaire, comme hésitants – la rupture possible des attaches ajoute à cette tension. Les symboles sont multiples, la couleur dorée qui rappelle les couvertures de survie ou qui symbolise le froid de la mort dans une combinaison habile de préciosité et de technicité. L’artiste se réfère aussi directement à l’esthétique des films d’anticipation soviétiques des années 60 qui l’ont beaucoup influencés.
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Bady Dalloul, "Tonkeru, Carte satellite", 2015

Apollinaria Broché, Adolfo Bioy Casares, Bady Dalloul, Louise Gügi, Esjieun Kim, Johan Larnouhet : Lost in Between 
Curateur : Sacha Pevak. Assistante curateur : Dasha Akimava
2-10 avril 2016 / 19 Côté Cour : 19 rue Marc Séguin - 75018 Paris

Franchir une frontière, traverser un fleuve, entrer dans le « cercle magique », rêver, se retrouver de l’autre côté du miroir ou bien se connecter – une multitude de voies pour atteindre les envers du réel, considérés pour la plupart comme inexistants. Sans pour autant être attachés à une approche unique du réel, les artistes de l’exposition « Lost In Between » partagent le sentiment de fragilité de frontières entre les mondes et oscillent entre les réalités. Ceci nous plonge dans un doute constant sur la nature, les sources, voire l’existence de leur travail. Alors, tout comme le personnage de « L'Invention de Morel » (1940) d'Adolfo Bioy Casares qui se réfugie sur une île déserte – un lieu étrange – on se retrouve dans un réel magique, le rêve le plus vraisemblable, n’arrivant pas à tracer les frontières entre réel et fiction.
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Bady Dalloul, "Scrapbook", 2015

Bady Dalloul : ​Scrapbook & Wall of Fame
Double exposition. Curateur : Sacha Pevak
13 - 19 février 2016 / 19 Côté Cour : 19 rue Marc Séguin - 75018 Paris

Évènements historiques, faits personnels et fiction composent le récit fragmentaire, que l’artiste Bady Dalloul écrit au fils du temps et qu’il ouvre par le premier chapitre – « Scrapbook ». Ici, en face de l’histoire chronologique du pays syrien, il dresse une dimension humaine et essaie le masque de ceux, capables de décider des destins par un simple geste de la main, puisque « cartographier » ne signifie pas plus que « dessiner sur papier »...

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